Paper Mix ! [Manga/anime]

Alluka fit une petite moue à l'annonce d'Ichigo. Elle n'avait tout simplement pas envie de partir. Elle se sentait à l'aise ici. Ichigo se pencha vers pour lui demander :

-Que se passe-t-il
-...Je ne veux pas me changer... Je n'aime pas la robe qu'Ayae m'a donné... Je n'aime pas avoir les cheveux attachés...

Elle serra le tissus de son vêtement contre elle et replia ses jambes contre sa poitrine.

-Je veux rentrer chez moi...

-Tu sais, chacun de nous veut rentrer dans son monde, et en ce qui concerne tes vêtements tu poura les remettres chez Ayae, tu n'as besoin de ta robe que pour la ville et comme on ne fais que le retour, tu n'en aura pas besoin longtemps mais ne t'en fais pas on trouvera une solution.
Dit le shinigami pour essayer de rassurer l'enfant.

Italy, une fois sa douche terminée, mit une serviette autour de sa taille et sortit de sa douche. Il commença à chercher ses vêtements avant de se souvenir qu'il les avait laissé au beau milieu de la grande salle. Il sortit alors, une autre serviette autour du cou pour se sécher les cheveux, avant de s'arrêter dans le couloir quand il entendit la petite voix d'Alluka, qui ne semblait pas particulièrement joyeuse.
-Je veux rentrer chez moi...
Il entendit ensuite Ichigo commencer à lui parler de vêtement, avec un ton rassurant. Feliciano rentra dans la pièce, laissant des gouttes tomber partout et salir le sol (Ayae allait crier...), pour se diriger vers Alluka, qui semblait très triste. On lui avait déjà demander "qu'est ce qui n'allait pas", alors pas besoin de redemander : à part rendre encore plus triste, il n'y avait pas grand intérêt. Il s'accroupit, et lui tapota doucement la tête en souriant.
-Hey, Alluka, en rentrant, on mangera des pâtes ! Ça te va ? C'est bon les pâtes !

Alluka avait écouté Ichigo d'une oreille distraite. Elle se moquait bien de savoir qu'elle ne porterait pas la robe très longtemps : elle ne voulait pas la mettre ! Elle sentit une main se poser sur sa tête et reconnu la voix de Felizianno. Elle acquiesça à sa proposition de manger des pâtes et releva la tête vers lui pour lui montrer un grand sourire mais en le voyant elle éclata de rire jusqu'à en tomber par terre.

-Oh ! Oni-san ! Tu es trop drôle avec les cheveux tout mouillés !!

En effet les cheuveux du pays étaient plaqués contre son crâne sauf sa petite mèche enroulée qui elle avait toujours la même allure !

La petite fille se mit à rire, et il l'accompagna. Il trouvait son rire musical, le siens était plus du style mignon. Puis, il se calma avant de continuer.
-À ce point ?! Attend un peu !
Il secoua sa tête, et ses cheveux reprirent leur emplacement normal, en désordre, lisse, avec quelques petites mèches bouclées au bout. Il venait d'éclabousser tout le monde, et quand il vit son amie et Ichigo tout trempés, il explosa de rire.
-Ah ah ! Ve ! Vous êtes tout mouillés ! Désolé~ !
Le sol en dessous de lui était maintenant couvert d'une petite flaque d'eau. Il mit son doigt dedans, et le passa sur le front d'Alluka, dessinant une botte. Il prit un faux air sérieux et un ton solennel amusé.
-Alluka, je vous sacre reine ! Êtes vous prête à le devenir ?

Ichigo regardait Italie s'amuser avec Alluka, il était trempé mais ssa ce n'étais pas grave. Il se rappella que ils devraient rentrer chez Ayae et que Italie était encore avec une serviette autour de la taille.
-Veneziano, habille toi s'il te plait, et toi Alluka, tu veux bien sortir pendant que Italie se change? Tu demanderas à Ayae des vêtements moin serrant.
Puis il sortit des vestiaire pour laisser le pays dans son intimité et en sortant il croisa la patronne.
-Merci beaucoup pour votre aide.
-Vous n'avez pas à nous remercier. Ce fut un plaisir
-Je ne comprendrais jamais où il range son zanpakuto.Se dit la patronne

-oh oui ! Je suis une reine ! Je suis une reine !

Alluka toute guillerette frappa dans ses mains en riant. Lorsque Ichigo les rappela à l'ordre, la petite bouda un peu mais obtempéra et se dirigea vers les vestiaires pour fille. Elle remit sa robe grise et s'attacha les cheveux. Elle garda secrètement dans sa main une des barrettes-smiley qu'elle attachait à ses nattes et rangea le reste qu'elle donna à Ayae. En sortant, elle salua ploiement la patronne et sortit dans la rue, cherchant des yeux Italy pour lui tenir la main sur le retour.

Tous sortirent de la pièce pour laisser Feliciano se changer. Il en profita pour enlever la serviette autour de sa taille afin de se sécher entièrement, avant de regarder les environs. Il avait laissé ses affaires au sol, dans la sale principale, et pourtant, elles étaient maintenant pliées, sur le banc. Ça lui rappelait la maniaquerie d'Allemagne, qui rangeait tout pour lui (non sans crier).
-Il me manque...
Il se sécha et enfila ses vêtements. Contrairement à Alluka, les porter ne le gênait pas. Il avait l'habitude de porter des vêtements civils après tout, même si ses trois tenues principales étaient son uniforme, un costard pour les grandes occasions, et un simple caleçon, qu'il mettait chez lui. Son frère et lui n'était pas des gens très pudiques, et ils passaient leur journée en sous-vêtement sans aucun problème. Allemagne avait du mal à comprendre ça, et Japon encore moins.
Il sortit une fois sec et vêtu, pour voir Alluka et tous les autres l'attendre.
-Et bien, je suppose qu'on y va ?...

Alluka se retourna en entendant la voix d'Italy.

-Oh oui ! Oni-san ! Oni-saaaan~ porte-moi sur tes épaules !
-Allez en route mauvaise troupe et ne me quittez pas des yeux !

Ayae se mît en route, guidant la petite troupe vers sa maison. Ils semblaient tous fatigués de leur journée et elle qui avait eu une nuit raccourcie l'était également. Ils arrivèrent un peu après dans la maison de la jeune fille.

-Je vais faire à manger, pas de bêtises hein ?

-Bien chef !
Italy, qui avait porté Alluka pendant tout le long de la route, la posa doucement au sol afin de pouvoir marcher plus librement dans l'appartement. L'escalier avait été une partie difficile, car il avait failli cogner l'enfant au plafond pas mal de fois. Heureusement, ceci n'était pas arrivé. Il regarda Ayae partir dans la cuisine, et la vit poser son téléphone sur la table. Parfait. Feliciano se saisit de l'objet, et commença à taper un numéro. Le téléphone sonna, et Veneziano partit se balader dans le salon.
-Ciao Romano ! Come stai ?
Une voix se mit à hurler à l'autre bout du combiné. Ayae sortit de la cuisine.
-Dîtes, pour la viande, vous préférez quelle type de sau-
-Non piangere ! Sto bene !
Alors là, quelque chose n'allait pas : Italy venait de prendre SON téléphone et était en train de parler ITALIEN. Sois il avait appelé un de ses contacts, et celui-ci allait se demander ce qu'il se passait, sois il était en train de passer un appel en ITALIE, ce qui allait lui coûter un bras.
-FELICIANO ! Qu'est-ce que tu fais ?!
-Oh, Ayae ! J'appelais juste mon frère !
-C'est lui à l'autre bout du fil ?!
Italy appuya sur le bouton haut parleur. Immédiatement, une voix colérique en sortit.
-Oi, Veneziano ! C'est qui ça !?
-C'est Ayae, celle qui m'héberge ! Cris moins fort Romano !
-Aaaah ?! Cette salope a intérêt à être sympa !
Ayae avait du mal à réaliser : son téléphone avait la capacité de téléphoner dans d'autre monde ! Elle fixa le vide quelque instants, avant qu'Italy ne raccroche pour faire un autre numéro.
-Hm... Bon... Reprit l'Otaku. Quand Italy aura finit... Sentez vous libres d'utiliser le téléphone... Pour la viande, du ketchup suffira...
Elle partit avec l'allure d'un zombie. Italy se remit à parler Japonais lorsqu'il eut son nouveau contact à l'appareil. Son sourire devint plus brillant, plus joyeux.
- Ludwig ! [...] Oui oui, je vais bien ! Tu étais si inquiet ? [...] Dans un autre monde, c'est dur à croire mais... [...] Je ne pense pas qu'Angleterre ai quelque chose à faire là-dedans, d'autres personnes d'autres monde se sont retrouvés dans ma situation ! Ils sont très gentil ! Il y a Alluka, Sasha, Narvi, Ichig- [...] Hein ? Non, tu es le deuxième que j'appelle. J'ai appelé Romano avant. [...] Non, je n'appellerai pas Kiku, t'appeler suffis non ? Tu lui dira. [...] Pourquoi toi et pas lui ? Mais car tu es quelqu'un de spécial pour moi !
Un rire cristallin remplit le salon, alors qu'il marchait en rond depuis tout à l'heure.
-Tu me manques. [...] Yaaay, je manque à Allemagne aussi ! Bon, je vais devoir y aller, ciao !
Il raccrocha et posa le téléphone sur la table. Il se dirigea ensuite vers la bibliothèque de manga pour chercher le sien, passant son doigt sur les couvertures.
-J'ai finis avec le téléphone, pour ceux qui veulent !

//Les pâtés de Tegaaaaa//

Alluka eut le regard brillant. Elle pouvait appeler quelqu'un ? Vraiment ?

-Oh moi je veux ! Oni-san ! Je veux appeler Killua !

Elle s'empara du téléphone et composa un numéro. Elle attendit, l'oreille collée au combiné.

-Allo ? fit une voix de l'autre côté.

Alluka n'en croyais pas ses oreilles. Elle était tellement heureuse qu'elle se mît à pleurer.

-Allo ? Allo ?
-Killua ?
-...Oui c'est moi... Comment avez eu mon numéro ? Qui êtes-vous ? Que me voulez-vous ?
-Oni-chaaaaan ! C'est Alluka !
-... Alluka ? Alluka c'est toi ?
-Oui c'est moi !
-Maman t'as laissé utiliser un téléphone ?
-Je suis pas à la maison !
-T'ES SORTIE DE LA MAISON ? Mais comment t'as fait ? Depuis quand tu peux défoncer dix portes blindés ?
-Je sais pas ! Killua viens me chercher !
-Calme-toi Alluka ! Pleure pas ! Tais-toi Gon ! Tu es où ?
-Je sais paaaaas !

Alluka pleurait toutes les émotions qu'elle avait refoulé, autant la peur que la joie d'entendre son frère.

Italy mit le doigt sur son manga. "Axis Power", ça ne pouvait être que ça. Il sortit le livre de l'étagère, et fut surpris de se voir dessiné, Allemagne et Japon derrière lui. Dans le fond se trouvait la carte de l'Italie, son pays. Il était mis devant ? Lui, le personnage inutile, chétif ?
-Je sais paaaas !!
Feliciano se retourna en entendant son ami pleurer. La fillette était au téléphone, et les larmes coulaient à flot le long de ses joues. Il posa alors son manga pour se précipiter vers elle, la prenant dans ses bras. Elle n'était plus en état de parler, alors il appuya délicatement sur le haut parleur afin de pouvoir converser avec ce qu'il pensait être le frère d'Alluka.
-Hm... Ciao ! Je suis Italy, un ami d'Alluka... Tu es son frère n'est-ce pas ? Je m'occupe bien d'elle, je la protègerais, d'accord ?
Il allait devoir attendre un peu avant de découvrir quelque chose sur le Saint Empire Germanique..

-Hm... Ciao ! Je suis Italy, un ami d'Alluka... Tu es son frère n'est-ce pas ? Je m'occupe bien d'elle, je la protègerais, d'accord ?

La phrase d'Italy resta un instant en suspend, mais même s'il était de l'autre côté du téléphone, on pouvait sentir un sentiment néfaste émaner de Killua.

-Mec... finit-il par lâcher sur un ton glacial. Si il arrive quoi que ce soit à ma sœur, je te jure que je retrouverai chaque membre de ta famille et je leur arracherai lentement les membres un par un sous ton nez avant de te faire subir la même chose, c'est clair ?

Alluka qui avait finit par se ressaisir reprit la conversation.

-Oni-chan ! Je sais pas où je suis ! Mais apparement j'ai été emmenée dans un autre monde !
-Quoi ? Mais c'est quoi ce bordel ?
-Bah je sais pas justement ! Mais tout le monde est très gentil !
-Bon tant mieux ? T'as tué personne ?
-Non non !
-Illumi a pas essayé de te tuer ?
-Non non !
-Milluki non plus ?
-Non non ?
-Papa et Maman non plus ? Est-ce que Maman t'as électrocuté ?
-Non non ! Depuis que je suis enfermée à la cave, il n'y a que les majordomes qui viennent me voir pour me donner à manger !
-Et t'as encore tué des majordomes ?
-Non non !
-Bon, tu me repasses le crétin qui est avec toi ?
-Oui oui ! Il t'entend !
-Ok, alors écoute-moi bien enfoiré ! T'as intérêt à protéger Alluka avec toute ta puissance ou j'te jure que tu regretteras toute ta vie que ta mère ait décidé de coucher avec ton père neuf mois avant ta naissance !

Italy ne savait plus où donner de la tête avec toutes les menaces de mort qu'on venait de lui afresser. Il se mit à parler très vite, paniqué.
-Ve ! Personne n'a couché avec personne car je ne suis pas né comme les humains et d'ailleurs il est pas possible de me tuer mais par pitié ne me fait pas de mal ! Ne fais rien à mon frère, il est gentil, et puis tu ne peux pas me faire de maaal ! Je suis vierge, et on ne tue pas les vierges ! Oh ! Et j'ai de la famille... Là où tu habites ! Peut importe où c'est, mais j'ai de la famille là-bas donc ne me fait pas fe maaaaal !
Allemagne aurait été là, il se serait déjà fait taire. Veneziano avait toujours un grand tas d'excuse pour lorsque l'on l'attaquait en guerre : "Je suis vierge" par exemple, ou bien "J'ai de la famille là où tu habites". D'ailleurs, cette excuse était souvent utilisés par ses habitants en guerre.
-J'aime beaucoup Alluka ! Je fais très attention à faire ce qu'elle me demande, et à demander de petits souhaits ! Je lui ai appris une chanson aussi ! Hein Alluka ?

-.... Les demandes d'Alluka ? Ne me dis pas que... Putain t'as compris son pouvoir ?
-On est chez une fille qui s'appelle Ayae et elle se tout de nous ! Du coup elle connaissait aussi mon nen. C'est elle qui leur a expliqué.
-Donc t'as tué personne ?
-Non non.
-...C'est pas grave, tu t'amélioreras !
-Mais ce sont mes amis !
-Ah bon ? C'est pas plus mal alors.
-Oni-chan, il y a d'autre gens ici qui sont comme moi, ils ont été arraché à leur monde et comme moi je pense qu'ils veulent appeler leur proche alors je vais te laisser !
-Je comprends... Comment il s'appelle le type avec toi ?
-C'est grand frère Italy !
-Grand frère ? Bah... Écoute moi bien Italy ! Je compte sur toi ! Occupe-toi bien de ma sœur ! Je t'aime Alluka, je vais chercher une solution !
-Je t'aime aussi Oni-chan !

Killua racrocha et Alluka resta un instant à regarder le téléphone puis elle leva la tête vers Italy.

-Il a l'air de t'apprécier ! C'est super ! Quelqu'un d'autre veut téléphoner ?

-Il... Vraiment ?
"Il a l'air de t'apprécier !". C'était dur à dire après toutes ces menaces de mort. Mais il devait être comme Romano : cacher ses vrai sentiments sous des insultes. Comment Japon appelait ça déjà ? Ah oui : Tsundere. Apparemment, c'était un cas qui touchait beaucoup Lovino Vargas et Arthur Kirkland, c'est à dire : son frère et Angleterre.
Feliciano reprit son livre et l'ouvrit. Les premières pages étaient en couleurs, magnifiques, mais lui n'y apparaissait pas. La scène se passait à une des grandes réunions mondiales, et le pays reconnu la scène : c'était la réunion sur le réchauffement climatique, qui avait fini en grande dispute... Comme toutes les autres réunions. Il se vit alors, sur une page réservée à lui : il était le personnage principal. Les pages suivantes montraient un adulte, et Italy le reconnut, triste.
-Tu vois Alluka ? Ça c'est mon grand père, papi Rome. Il est cool, non ?
Il regarda un instant le dessin, caressant la surface du papier, avant d'avoir une idée, de se diriger vers la bibliothèque, et de sortir HunterxHunter, un tome au hasard, et de le donner à Alluka.
-Tiens ! D'après Ayae, celui-ci est le tiens !!

-Oui moi.
Ichigo pris le téléphone et composa un numéro.
Pitié, décroche.
Une voix se fit entendre.
-Allo.
-Allo Rukya, c'est Ichigo.
-Ichigo, T'ES OÙ LÀ, JE PEUX PAS GERER LES HOLLOW TOUTE SEULE, TU PEUX PAS PRÉVENIR QUAND TU T'ABSENTE?!!!
Ichigo écarta le telephone de son oreille le temps que Rukya ait finis de crier.
-ARRETTE DE CRIER ET LAISSE MOI T'EXPLIQUER!!!
Il repris son calme et repris.
-tu peux prévenir Hurahara que je suis dans une autre dimension, dit lui que d'autre personne sont ont également été araché à leur univers.
-Une autre dimension??
-Oui, je me suis réveiller dans une dimension semblable à celui des humains mais c'est une autre dimension. D'après la personne qui nous éberge chaque personnes y compris moi venons de manga, tu sais, les bande dessinnées.
-Comment est-ce possible?
-C'est ce que j'aimerais savoir, c'est pour celà que tu dois en parler à Hurahara. Et ne dis rien aux autres sa ne sert à rien qu'ils s'inquiete pour moi.
-D'accord.

Ichigo raccrocha le tellephone
-Quelqu'un d'autre veut l'utilisé?

Alluka regarda l'image que lui montrait Italy et sourit. Son papi avait l'air très jeune ! Son grand-père à elle avait de la barbe et des cheveux blanc mais cela ne l'empêchait pas d'être en pleine forme. Italy se dirigea de nouveau vers la bibliothèque et revint avec un tome d'HunterxHunter. Alluka l'observa et tomba sur un dessin d'elle en Nanika.

-Hi hi ! Tu as vu ! Elle est marrante dessinée comme ça Nanika ! Tu sais... Nanika c'est mon amie depuis très longtemps... Killua nous a toujours protégée toutes les deux.

Elle continua de regarder les dessin quand elle tomba sur un d'illumi qui poursuivait Killua alors que ce dernier la portait.

-Illumi est mon grand frère... Mais il n'est pas gentil... C'est marrant... Je ne me souvient pas de ça... En fait ça fait longtemps que je n'ai pas vu Killua... Mais c'est super ! Ça veut dire que Killua va vraiment venir me chercher ! Tu te rends compte ? Il va venir me chercher et il va me protéger ! Je suis heureuse ! Je suis vraiment heureuse !

Italy se mit à sourire en caressant la tête d'Alluka, avec un peu d’inquiétude tout de même. Ainsi, Nanika et Alluka était deux personnes ? C'était donc pour cela que sa personnalité changeait quand on réalisait trois de ses vœux : il s'agissait de deux entités différentes...
-C'est marrant... Je ne me souvient pas de ça... En fait ça fait longtemps que je n'ai pas vu Killua...
Veneziano penchant la tête pour regarder Illumi. Même si il se doutait qu'il ne le verrait surement jamais, il retint tout de même son visage, en le classant comme "mauvaise personne". Mais il ne voyait pas comme des gens de la même famille ne pouvait pas s'entendre. Chaque frères qu'il connaissait étaient gentils les un avec les autres... Sauf peut être Angleterre qui essayait parfois de maudire America. Mais ils n'étaient plus frères, et malgré ça, ils s'entendaient parfois très bien. Il s'imagina dans la situation d'Alluka, enfermé dans une chambre, derrière dix portes blindées, avec juste une seule personne pour l'aimer. Cette situation pour l’éternité, c'était assez... Embêtant. Et qui aurait été cette personne ? Il ne savait pas vraiment.
Il tourna les pages d'Hetalia, riant parfois devant quelques souvenirs.
-C'est vrai que ça rappelle plein de chose !
Il passa la majorité du temps les pages, s'arrêtant quelques instants quand il s'agissait d'Allemagne, de Japon, ou de son frère, pour enfin trouver ce qu'il cherchait. Et il grimaça.
Cela ne lui apprenait strictement rien. La scène était juste un souvenir douloureux vu de son point de vue. Il tourna les pages du manga, maintenant en colère, les yeux ouverts et humides.
Rien.
Il n'y avait strictement rien après la scène d'adieu. Le Saint Empire disparaissait, l'humour revenait. Et alors ?! Qu'était il arrivé à l'enfant ? Et pourquoi ces pages devaient être si joyeuses ?! Il considérait lui même sa vie comme belle, amusante, mais il était assez déprimant de n'avoir aucune question, aucune CAUSE de la disparition du Saint Empire. Tout repassait d'un coup, après la petite histoire triste, à la joie et la bonne humeur. Feliciano se leva, les larmes coulaient maintenant sur ses joues. Il claqua le livre au sol, le fixant de ses yeux ambres énervés.
-Ca ne me dit rien ! Où ces clientes ont elles eut leur informations ?! Voglio sapere ! Dove si trova ?!
Veneziano avait oublié comment parler japonais à cause de la frustration. Il serra les points, ramassa à contre-coeur le livre par terre, ainsi que les autres tomes, avant d'aller s'enfermer dans la salle de bain.

Invité

Sasha qui était retournée dans le garde manger mais en discrétion cette fois ci, avait entendu un bruit sourd comme un claquement porte et des mots incompréhensibles. Sasha se précipita à l'endroit ou elle eut entendu les bruits. Elle chercha autour d'elle avant de remarquer qu'il du bruit derrière la salle de bain elle reconnu la voix d'Italy qui sanglotait. Elle toquât à la porte.
-Italy... Je peux rentrée ?

Il y eu un moment de silence. Italy pensait. Fallait il faire entrer la jeune fille, ou rester seul pour cacher ses larmes ? Tout le monde a ses faiblesses, et Japon et Allemagne avait apparemment prit la décision de ne jamais pleurer. Ils étaient des personnes fortes. Mais lui n'en avait rien à faire. Il se leva, décidé que montrer ses larmes n'était pas quelque chose dont il fallait avoir honte. Il ouvrit la porte, tournant la poignée. Il regarda Sasha de ses yeux ambres ouverts, avant de la laisser passer, et de refermer à clef. Il n'avait juste pas envie que Ayae le voit ainsi. Elle lui dirait quelque chose comme "Je t'avais prévenu", il en était sur.
Sur le sol était étalés plusieurs manga, et aucun ne reparlaient du Saint Empire Germanique. Aucune preuves n'annonçait sa mort, ni sa disparition. Mais il ne revenait jamais.
-Qu'est-ce que tu veux ?...
Il n'avait pas dis ça méchamment, au contraire, il avait plutôt besoin de quelqu'un actuellement qui pourraient le calmer. Et si les pâtes pouvaient se préparer plus rapidement, son esprit aurait au moins été apaisé. Mais là, rien à part les feuilles de papier dessinées ne pouvait réellement l'occuper. L'aide d'un ami était précieuse. Veneziano avait juste envie d'être chez Allemagne, à pleurer. Il était très fort pour le réconforter, malgré son air sérieux. Il savait comment faire. Est-ce que Sasha y arriverait ?

Alluka regarda un moment toutes les images mais elle ne comprenait pas grand chose. Elle n'arrivait pas à lire les Kansas et pour cause : l'écriture de son monde était en tout point différente de toutes celles qu'on pouvait trouver dans ce monde. Elle entendit alors Italy jeter un livre à terre. Elle leva le regard vers lui alors qu'il en jetait un autre dans un élan de rage.

-Oni-chan... Ça va ?
-Ca ne me dit rien ! Où ces clientes ont elles eut leur informations ?! Voglio sapere ! Dove si trova ?!

Alluka eut un pincement au cœur. Elle n'avait jamais vu Italy s'énerver. D'ailleur elle ne le pensait pas capable de s'énerver. Elle sortit discrètement de la pièce et, frustrée, perdue, se mît à pleurer, recroquevillée dans un coin.

Invité

-Je... J'ai entendue du bruit alors je suis venue ? Il y'a quelque chose qui ne va pas ? Tu as faim ?
Sasha n'avait jamais vu Italy s'énerver, elle ne savait pas comment il réagirait mais elle n'aimait pas voir ses amis triste.
-Tu... tu pleures qu'est-ce qui c'est passé ?
Sasha ramassa un manga au hasard il n'y avait rien de triste dans aucun d'entre eux.
-Qu'est-ce qui lui arrive... Pourquoi pleure t-il ?

Italy n'était pas du genre à essuyer ses larmes. Ca coulait, et de toute manière, tant que ça ne sortait pas, il ne se sentait pas mieux. Il regarda Sasha, qui passait ses yeux à travers les pages à la recherche de quelque chose, visiblement surprise et inquiète. Elle ne devait surement pas comprendre ce qui l'avait mis dans cet état.
-Tu... tu pleures, qu'est-ce qui c'est passé ?
Veneziano prit le premier tome, et chercha le passage de ses adieux. Lorsqu'il vit le visage du Saint Empire germanique dessiné sur le papier, fait au crayon de papier, il s'arrêta, observa un instant, avant de donner le livre à son amie. Il la laissa lire un moment, avant d'inspirer et de parler.
-Après nos adieux. Il n'est plus jamais revenu. Je... Je suis sur qu'il n'est pas mort lors de la guerre. Je refuse de le croire. Il m'a fait une promesse tu sais ? Il n'a pas pu mourir, sinon, la promesse n'aurait servie à rien. N'est-ce pas ?
Il reprit un peu de son calme, les yeux toujours humides. Cependant, ses crises de tremblement étaient passées.
-Au café tout à l'heure, des filles m'ont demandé en quelle théorie je croyais : sa mort, ou sa vie. Elles allaient donner des preuves importantes pour l'une des théories, mais Ayae m'a interrompue. Et ce livre ne me dit rien !
Et Feliciano ne savais pas que les indices étaient cachés un peu partout... Et Ayae n'était pas prêt de lui dire.

Cento qui dormait depuis vraiment longtemps se réveilla enfin. Elle ramassa un manga par terre, c'était le manga d'où elle venait. Mais plus elle tournait les pages et plus les moments où elle était présents devenaient transparents, jusqu'à une page où elle avait complètement disparu.
-Hein !? j'ai disparu pourtant je me souvenait être avec Touk.... de quoi je parlais déjà... pourquoi j'ai un manga dans les mains...
Cento essaya de ce rappeler se qu'elle était en train de faire, mais elle ne se rappelait pas. Elle laissa tomber le manga au sol et se dirigea vers Alluka, dont elle ne se souvenait plus : la jeune fille était de dos, et Cento ne remarqua pas ses pleurs.
-Qui es-tu ?....

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